Le chauffage à distance

Grâce à la production de chaleur centralisée, les émissions nocives sont réduites à un minimum. Les prescriptions légales contre la pollution de l'air sont mesurables, respectent les normes, et souvent même, montrent des valeurs très inférieures.

Le chauffage à distance est souvent un produit complémentaire utile.

Le chauffage à distance profite souvent de chaleur résiduelle de l'incinération des ordures ménagères et autres procédés de fabrication industrielle ou de déperdition de chaleur de centrales thermiques. Au lieu de laisser bêtement s'échapper cette énergie dans l'atmosphère, elle est utilisée comme apport précieux et durable pour la production d'eau surchauffée qui est acheminée vers l'utilisateur par un réseau de conduites.

Un bilan écologique très positif

• Diminution de la pollution de l'air par des émissions nocives.
• Les émissions de CO2 sont fortement réduites.
• Utilisation d'énergies renouvelables locales.
• Substitution à des énergies fossiles.
• Utilisation optimale des combustibles grâce à la production combinée d'énergie électrique et thermique.
• Pas de déperdition de chaleur par des fumées.
• Pas de pollution et de dépôts comme avec les citernes à mazout.
• Conçu pour être durable: la durée de vie des réseaux et constructions se situe selon les dernières estimations entre 60 à plus de 100 ans.
• Le transport sécurisé de cette énergie se fait sous terre.
• Le chauffage à distance n'émet ni bruit ni odeurs.

Le chauffage à distance est d'une écologie évidente.